Eïdonar : Le Coeur de la Destinée
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Message  Le Créateur Dim 15 Mar - 18:56

Eïdonar se dessinait sur plusieurs étages mais, avant que les élèves ne puissent découvrir l'immensité de la Forteresse, il leur fallait en premier lieu s'y rendre. Les voies de communications étaient assez vastes, la plupart des jeunes sorciers européens se rendaient en France, prendre le quai 7 3/4 de la Gare St Lazare pour partir, à l'aide d'un train plus de cinq fois plus long que le Poudlard Express. Cet engin avançait dans les plaines, pour finalement cesser sa course à plusieurs kilomètres de l'école. Cette gare d'arrivée était le théâtre, chaque année, alors que le soleil peignait de ses plus belles couleurs crépusculaires le ciel, dans une infinie beauté qui illustrait les retrouvailles entre les différentes nationalités. Les européens arrivaient face à leur voisins d'Afrique, ayant parfois la chance de les voir arriver dans leurs abris grandioses, sur des dos de Phénix Célestes. Ces oiseaux, beaucoup plus grands que leurs cousins du nord, avaient de quoi porter sur leur dos plusieurs dizaines d'élèves dans des proportions inégalables. Cette race, rare, pouvait mesurer aisément la taille d'un train, ses ailes ouvertes. Cinq à sept oiseaux de feu se déposaient chaque début d'année, ils libéraient ainsi des élèves avant de revenir à leur état naturel, les montagnes, le temps de l'année scolaire pour repartir, aux vacances. Les peuples d'Asie se rassemblaient par d'autres diverses moyens autour de Singapour, avant d'entrée dans un immense navire qui plongeait dans les antres de la mer, puis s'élevait de nouveau, en dehors des eaux, lorsque le fleuve qui menait au parc d'Eïdonar, dans le petit lieu d'arrivée, était atteint. Pour toute nouvelle année qui débutait, l'on retrouvait un ensemble d'élève entrer dans des charrettes traquetées par des sombrals, guidés non loin de la citadelle, laisser pénétrer les septième années puis les sixièmes, cinquièmes, quatrième, troisième, deuxième et pour finir, les petits nouveaux qui écarquillaient leurs petits yeux, jeunes, curieux et insouciants à la vue de toute la splendeurs que purent voir leurs ainés.

Le bâtiment se trouvait donc sur le côté du lac, posé sur le sol avec une grâce que seul les dieux pouvaient offrir. Il se dévoilait par des rails qui menaient aux grilles, et jusqu'au monde des moldus, rails conduisant à la petite gare où les charrettes de sombrals était déposées, stoppées, figées avant qu'ils ne doivent partir. Au dessus du train, les Phénix Célestes atterrissaient dans de petits abris, petit... C'était vite dit ! Ils l'étaient suffisamment pour les accueillir, les laisser abandonner les élèves et repartir dans les hauts rocs de l'établissement. On notait sur leur dos la présence d'abris, tissés dans des fils de couleur féériques, se délaissant sur le sol une fois les élèves ayant descendus les escaliers. Le navire quant à lui restait amarré, lui aussi, le temps des cours, pour repartir plus tard...

Le Créateur
Yeux et Oreilles de l'Univers

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